Nouveau spectacle 2015

                                                                          

Ces Messieurs les Chevaliers à l’époque de Louis XIV

 

Notre nouveau spectacle 2015 sera le thème que notre équipe de spectacle, plus connue depuis le début des années 90 sous le nom des "Cavaliers-Voltigeurs du Bajutsu", mettra en avant durant les 3 années à venir.

Toutes les autres thématiques de spectacle sont, bien évidemment, toujours à disposition des organisateurs.

Afin de vous donner un meilleur aperçu de ce thème présenté en plusieurs actes où le théâtre et la comédie sont à l'honneur, vous pourrez découvrir ci-dessous quelques extraits du commentaire (voix off) ainsi que quelques photos.

Spécialisée depuis plus de 20 ans dans les arts de la guerre en spectacle équestre, notre équipe vous plonge en plein 17ème siècle en vous proposant d'assister à des séquences d'entraînements à l'art de la chasse traditionnelle (à l'arc et à la lance), aux techniques de combats entre cavaliers mais aussi avec des escrimeurs, ...

Si vous êtes organisateurs d'événements, dirigeants d'entreprises, ... et que vous souhaitez organiser un diner-spectacle dans un cadre majestueux et que vous optez pour un château, ce thème est certainement ce qui vous manque pour faire de votre organisation un moment inoubliable mais aussi parfait.

 

N'hésitez pas à nous contacter pour connaître nos conditions :

info@chevaux-services.be

0475/76.94.39 - 0492/585.485

 

N.B. : Ce thème a été présenté en 3 actes. Ces actes sont modulables, peuvent être regroupés, agrémentés d'autres numéros (dressage haute école en tenue d'époque, jongleurs, fauconnerie, ...).

 

 

 

 

Bienvenue à l’époque des chevaliers !

Bienvenue sous Louis XIV !

 

Vivre à la fin du 17ème siècle, signifie passer son temps entre loisirs, guerres et festivités diverses à la Cour de Versailles…pour les chevaliers, les nobles, les gentilshommes, bourgeois, courtisans et aristocrates qui… ne travaillent pas.

Profitant de revenus fonciers, ils disposent d’énormément de temps, et durant ces longues journées, ils s’adonnent à toute une série d’occupations dont la principale est : la chasse.

Le Roi lui-même passait son temps ainsi. Il fut d’ailleurs des années où Louis XIV s’adonnait à ce passe-temps tous les jours.

 

Nos Chevaliers, Marquis, Comtes et Vicomtes ici-présents, s’ils ne sont pas liés par des liens familiaux ou par alliance, sont, à tout le moins  des amis de longue date.

Soucieux et particulièrement attirés par les traditions, ces hommes et, cette femme, ont rejeté l’utilisation d’armes à feu tels que l’arquebuse ou le mousquet pour chasser, leur préférant les méthodes traditionnelles de la chasse à l’arc et à la lance.

 

 

 

Un mot de Madame la Comtesse de Sarlat.

Née dans une famille de Chevaliers ayant gagné leurs titres de noblesse sur les champs de bataille, Madame la Comtesse a 6 frères.

Ils l’ont initié dès son plus jeune âge aux arts du combat et de la chasse.

 

Fervente lectrice et passionnée par les aventures de Monsieur de d’Artagnan, les prouesses et actions de sa fille n’ont pas de secret pour elle. Rien d’étonnant donc de la retrouver ici présente parmi ces téméraires aristocrates.

 

Tous vont donc vous présenter un échantillonnage de leurs techniques à cheval, à pied, en solo ou à plusieurs...pour finir par un passage du mur du feu qui ponctuera ce spectacle…que nous ouvrons avec …

 

 

Acte 1 :  La chasse et le tir à l’arc

 

 

Ils ont préféré, je vous le disais à l’instant, laisser de côté les armes à feu, au profit, notamment de l’arc.

 

Voici d’abord le tir sur cible fixe.

 

Une technique se travaillant aux 3 allures afin de préparer les chevaux et les Chevaliers.

 

Le maniement de la lance à présent.

Une arme plus encombrante, plus difficile à manier « en selle ».

Son utilité : « achever l’animal blessé ».

Le chevalier s’en sert pour épargner d’inutiles souffrances au gibier chassé et qui n’a pas été abattu directement.

 

Le maniement de la lance se travaille aux 3 allures également pour peu à peu atteindre la précision nécessaire pour que le geste soit immédiat et définitif. Il en va des souffrances de la bête.

 

 

Voici à présent le tir à l’arc sur cible en mouvement. Les choses se compliquent pour les chevaliers…

 

La « bête » (l’animal), représentée ici symboliquement par cette cible mobile, tirée par Madame la Comtesse de Sarla offre l’avantage de la vitesse mais aussi, au trot et au galop, présente un « rendu » réaliste de par les bonds, rebonds et soubresauts que « la bête » produit grâce à l’irrégularité du sol à laquelle s’ajoute la vitesse.

 

Comme dans toute progression, vous y êtes habitués désormais, les Chevaliers s’entraînent aux 3 allures.

 

 

 

 

 

Acte 2 : L’entraînement au combat ou l’art de manier l’épée.

 

 

 

Après le temps des loisirs, de la détente et de l’amusement, voici venu le moment pour ces Messieurs les Chevaliers, et la Comtesse, de continuer à parfaire les techniques de combat, afin de se préparer aux batailles ou duels divers.

 

Croiser le fer, piquer par-ci, toucher ou couper par-là, d’une botte de Nevers à la botte des Jésuites.

 

Epées, fleurets, rapières…c’est au choix !

 

Si des échanges, des batailles, des combats (quand il ne s’agissait pas de duels) se déroulent le plus souvent à pied, il arrivait fréquemment que le cheval soit un partenaire idéal à certains moments.

Mais, comme toujours, il ne s’agit pas de brûler les étapes et la progression est de mise.

Tout d’abord, chaque entraînement commençait par des échanges, une joute où chacun avait bien les deux pieds sur la terre ferme.

Pouvant parfois se trouver attaquer par des cavaliers, voire parfois désarçonner (ou le cas échéant après une chute), les entraînements comportaient également une phase d’échanges au sol, entre fantassins diront certains …

 

 

Mais combats également à cheval…

 

 

 

Il est temps maintenant aux chevaliers ici présents de vous démontrer davantage leur extrême dextérité à la manipulation de leur épée…

 

Il s’agit, dans cette nouvelle épreuve d’aller chercher des anneaux, de les enfiler au bout du fer.

Facétieux, espiègles, aimant la dérision et maniant la critique politique, ils ont confectionné ce mannequin qui ressemble à s’y méprendre à Richelieu, ecclésiastique et homme d’Etat qui fut ce que l’on appellerait aujourd’hui le premier ministre du roi Louis XIII, considéré comme l’un des fondateurs de l’Etat moderne en France…

 

Les chevaliers ont symboliquement attaché aux anneaux des bourses contenant tout aussi symboliquement l’argent, fruit de l’impôt, arraché par l’homme d’Eglise pour mener à bien ses projets politiques…

Et si Richelieu vous fait face, chers spectateurs, c’est surtout pour tourner le dos aux chevaliers qui ne vont pas se priver de venir le dépouiller.

En tous cas : essayer…

 

 

Cette fois, c’est une sorte de ballet équestre et à pied…auquel vous convient les chevaliers et la comtesse…dans une série d’échanges…

Admirez-en la dextérité, les esquives, les attaques portées… Et la grande souplesse qui s’en dégage…dans cette chorégraphie particulière…

 

 

Précision toujours et encore…

Au galop, l’épée à la main, il s’agira de trancher une pomme tenue à bout d’épée par nos aides au sol… A chaque passage : deux pommes.

Qui sera le plus habile ?

 

 

 

Acte 3 : Le passage du feu.

 

 

 

« Mettre les villages à feu et à sang », une réalité parfois à laquelle devaient faire face les chevaliers. Il fallait donc bien entraîner les destriers à franchir des murs de feu avant de livrer combat pour sauver la population des brigands.

 

Devant vous…un exercice contre nature. Faire passer un mur de feu à des chevaux qui, par définition, fuient le danger…et le feu en fait partie…

Pour y arriver…un vrai travail de complicité et de volonté entre le cavalier, la cavalière et son cheval.

 

Ils vont d’ailleurs commencer par un passage de ce monticule de paille, au trot, de front…avant que celui-ci ne s’embrase et devienne un passage insurmontable qu’ils vont, pourtant surmonter et franchir…

 

 

Tout passe par là, indépendamment de la grande complicité…

« Même pas peur ». Ni les cavaliers, ni les chevaux de ce mur de près de 3 mètres de haut , de la chaleur qui s’en dégage, des images de flammes qui dansent devant eux…